Marc BOUAN

Né en 1946 en Nouvelle-Calédonie, dans le village de Koné. Fils de descendants d’émigrés indonésiens. Retraité, ancien ingénieur du Service local de l’Equipement, premier bachelier technique du Territoire. Marié à une Calédonienne d’origine, deux enfants. Il a publié à Paris (Editions Publibook) un roman « ‘L’Echarpe et le Kriss » en 2003 ainsi qu’un recueil de poésies « Planète inquiète », (diplôme littéraire international de l’Académie Francophone), en 2004. Ces ouvrages sont disponibles sur les sites web de la FNAC ou de publibook et sont téléchargeables.
Il a participé à la réalisation de l’anthologie poétique « Horizons poétiques » éditée par l’Académie Francophone », prévue pour une diffusion internationale début 2007.

En préparation : ouvrages aux genres divers dont des romans de science-fiction accordant une large place à la Nouvelle-Calédonie.

Il s’intéresse aux patrimoines culturels, aux faits de société, notamment dans le Pacifique, à l’ésotérisme et à la psychologie. Est également passionné par les aspects de la vulgarisation scientifique et par les relations entre l’Orient et l’Occident.

Pour en savoir plus : à venir …

Extraits

Le phénomène « Lapita » et l’héritage austronésien
extrait :

Le roman « l’Echarpe et le Kriss »
donne l’occasion de rencontrer les diverses communautés de la Nouvelle-Calédonie, dont celle des Indonésiens issus de l’émigration. Dédié à Victor Hugo dans le cadre de son bicentenaire de naissance et à Chateaubriand, le récit fait intervenir des données historiques, sociologiques, littéraires, géographiques et écologiques, dépassant le cadre du Territoire. Il propose de faire connaissance avec le Kriss, une arme mythique propre à l’Indonésie, avec le domaine des rêves qui constitue une activité essentielle de notre psychisme et avec les espaces troublants de la radiesthésie.


« Le phénomène « Lapita » et l’héritage austronésien dans le Pacifique » :

Il est rappelé que la famille des langues austronésiennes, qui comprend plus de mille langages distincts, couvre une zone extrêmement vaste allant de Madagascar à l’Ile de Pâques, y compris bien sûr la Nouvelle-Calédonie, ….

D’ailleurs, on remarque rapidement certaines similitudes d’assonance en écoutant parler les Malgaches, les Malais, les Indonésiens, les Mélanésiens et les Polynésiens.

….En polynésien « roï-mata » c’est eau, œil, donc les larmes, alors que mata veut dire œil en malais.

…Le Polynésien dit « torou » ou « telou » pour trois et le Javanais dit « telu », prononcé « telou »