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L’Echarpe et le Kriss

Le phénomène « Lapita » et l’héritage austronésien
extrait :

Le roman « l’Echarpe et le Kriss »
donne l’occasion de rencontrer les diverses communautés de la Nouvelle-Calédonie, dont celle des Indonésiens issus de l’émigration. Dédié à Victor Hugo dans le cadre de son bicentenaire de naissance et à Chateaubriand, le récit fait intervenir des données historiques, sociologiques, littéraires, géographiques et écologiques, dépassant le cadre du Territoire. Il propose de faire connaissance avec le Kriss, une arme mythique propre à l’Indonésie, avec le domaine des rêves qui constitue une activité essentielle de notre psychisme et avec les espaces troublants de la radiesthésie.


« Le phénomène « Lapita » et l’héritage austronésien dans le Pacifique » :

Il est rappelé que la famille des langues austronésiennes, qui comprend plus de mille langages distincts, couvre une zone extrêmement vaste allant de Madagascar à l’Ile de Pâques, y compris bien sûr la Nouvelle-Calédonie, ….

D’ailleurs, on remarque rapidement certaines similitudes d’assonance en écoutant parler les Malgaches, les Malais, les Indonésiens, les Mélanésiens et les Polynésiens.

….En polynésien « roï-mata » c’est eau, œil, donc les larmes, alors que mata veut dire œil en malais.

…Le Polynésien dit « torou » ou « telou » pour trois et le Javanais dit « telu », prononcé « telou »

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